Noir sur blanc (pv kirin, ayame)

- Attention !

Une boule blanche vole dans sa direction. Il l’esquive par réflexe et plonge dans une ruelle le souffle haletant. Il a peur. Ils sont là, tout autour de lui, dangereux, mortels, imprévisibles. Des hommes, des nekos, des êtres de chair. Plaqués contre un mur, il attend. Des crissements sur le sol régulier informent son esprit paniqué que quelqu’un approche. Il se tasse, comme si il avait la possibilité de se fondre dans le mur de la  petite maison proprette et traditionnelle à laquelle il est adossé. Deux êtres mouvants débarquent soudainement, dans sa ruelle. Il se retourne, mais réalise qu’il est dans une impasse. C’est fini. Les deux êtres se mettent à courir vers lui. Petite taille. Il réalise que cela fait des semaines qu’il n’a pas vu d’enfant. S’ils espèrent qu’il va se laisser attendrir parce que ce sont des enfants, il ne baissera pas sa garde ! A quelques mètres de lui les jeunes s’immobilisent. Qu’attendaient-ils ? Il était acculé et encerclé !

- Vous n’êtes pas blessé, monsieur ?
- Non, je…. ; bégaie-t-il sans savoir quoi répondre.

Il réalise que sa voix est rauque, enrouée, probablement faute de ne presque pas parler. Ses patrons lui ont demandé de réagir normalement, seulement, il ne sait pas vraiment comment réagir normalement. Devrait-il leur montrer ses armes et leur proposer une séance d’astiquage de poignard ? A leur âge, il savait déjà manier la dague. Les jeunes semblent pourtant avoir d’autres occupations. Leurs mains sont pleines de neige. Pourquoi ? Sont-ils tombés ? S’entrainaient-ils à grimper sur les toits. Non, il doit prendre conscience que le monde n’est pas à son image.

- Vous êtes sûr ? Vous êtes tout pâle !
- Ah, je… Oui, je…

Surtout, malgré l’évidence du traquenard, ne pas réagir. Ne pas dégainer. Evidemment qu’il est tout pâle, il ne voit jamais le soleil, ou seulement quelque rayon tardifs du froid d’Aegar. Sans compter que ce sont eux qui ont la peau plus dorée que tout ce qu’il a pu voir jusque maintenant.

- Pourtant, vous saignez.

C’est vrai. Quelques gouttes de sang transparaissent à travers un bandage entourant sa main droite. Un souvenir d’une mission précédente qui s’est  annoncée moins facile que prévue, une simple égratignure toutefois, bien plus impressionnante que sérieuse. Ce qui est sérieux, c’est le moyen de se débarrasser de ces deux gêneurs.

- Ah, je…

Il prend une grande inspiration. Il peut parler. Il peut le faire.

- Oui, j’ai eu… quelque mésaventure …. sur ma route…. Ce n’est pas… votre fait.

Les deux jeunes repartent intrigués par le mystérieux voyageur, car c’est bien ce qu’il est en ce jour. Il a troqué sur ordre de ses patrons, sa tenue de travail habituelle, pour des vêtements du peuple, tout aussi noir. Il s’agit dans le cas présent d’une simple tenue de voyage originairement taillée en Aegar mais très populaire à Sakura. C’est normalement une tenue plus accès sur le pratique que sur l’élégance mais ce n’est encore pas assez fonctionnel pour lui. Il se sent nu. Il n’y peut rien, c’est un ordre. Au nom de l’obéissance, il a même en ce jour laissé libre sa queue de loup, et n’a pas cherché à camoufler ses oreilles pointues et soyeuses.

La voie étant libre, il sort de la ruelle, et se retrouve tout de suite happé par la foule. Il y a du monde en ce neigeux soir d’hivers, à se demander si Kuromachi ne célèbre pas en ce jour un festival. Il a peur. Il doit lutter contre son instinct qui lui dit de bondir sur un toit, sauter dans une ombre, ou se mettre une position de combat. Craignant de perdre le contrôle, il s’éloigne de quelque dizaine de mettre de son point de départ, et vient s’accroupir au-devant d’une maison, balayant la foule de ses yeux ambres, non sans noter les deux enfants toujours dans son périmètre qui le regardent d’un air curieux.

*Je marchai dans la neige. Un lourd manteau blanc couvrait mon corps frêle. Une col de fourrure frottazit contre mon cou. J'enfouis mon visage dedans rechauffant le bas de mon visage. Je relevais mes yeux bleu vers le ciel. La couleur brumeuse et grisatre me deprimait. Si triste... si sombre... si différente de Shiromashi. Le chateau s'élevait à l'horizon telle une ombre noire. Une coline obscure et imposante. Ce chateau qui vous rabaisse et vous ecrase. Je detournait les yeux. De peur. Peur que ce monstre de pierre me dévore. le monde écrasant des ninja. Le poids de leur combat, de leur devoir. Le poids de la mort. Je le sais. Un ninja accepte de mourir a tout moment. De mourir pour son seigneur. Ces hommes sont courageux, je l'admet. Je suis triste pour eux.

Je vis des enfants jouer ensemble dans la neige. J'eu un petit sourire. Ils tirerent dans un jeune homme. le rouge carmin colora la neige immaculée. mes yeux s'ecarquillèrent d'horreur. Un ninja ? non, il n'en avait pas la dégaine... Je le suivis et m'approchait alors qu'il parlait a un enfant. Le petit s'en alla. Je m'approchais. Il se retourna. Je m'approchai doucement et posa ma main sur son épaule.

- monsieur ? Vous êtes blessé ? Je peux vous aider !

Doucement il commence à respirer de nouveaux. Il n'est cependant toujours pas à son aise. Inspiration, expiration. Il aimerait pouvoir contrôler la situation, il sait qu'il est dans la gueule du loup. Il doit s'y faire, pourtant, il fait un métier à risque, tout n'est pas facile tout les jours. Inspiration, expiration. Le monde redevient lui-même. Il a l'impression de se reveiller d'un cauchermard, et peut sentir des sueurs froide contre son corps. Des pas contre le sol neigeux. Il se retourne. Une minute. Est ce qu'un citoyen normal serait capable de l'avoir entendu approcher? Il n'en sait rien. Il faut qu'il se maîtrise et agisse plus naturellement. Inspiration, expiration. Une main se pose son épaule. Le contact si inabituel lui parait désagréable. Il n'a pas l'habitude que l'on pénètre dans son espace vital. Il fait un énorme effort sur lui-même pour ne pas attraper la main en vol, puis pour ne pas la décrocher de son épaule. C'est un homme à peine plus jeune qui lui, mais beaucoup plus chétif, ou du moins c'était l'impression qui s'en dégageait. La voix enfantine qui en sortit le fit presque grincer. Pourquoi jouer l'enfant à se point? C'était déjà un homme non? Alors qu'il assume!

- monsieur ? Vous êtes blessé ? Je peux vous aider !

Que répondre? Comment faire? Comment se débarasser du jeune homme? Il ne connait rien de la vie en société. Qu'aurait fait son maître? Il tente de se rappeler, de ce qu'il a pu observer, se rappeler pour imiter. Il reste un instant impassible, comme en stase le temps de trouver sa solution et s'anime soudainement en un sourire des plus maladroit.

- Ce n'est rien...Je vais; murmure-t-il

Alors même qu'il commence à réagir à la question, il réalise qu'une nouvelle présence s'est rajoutée. Un autre assassin à coup sûr, et un bon. Il n'a réalisé sa présence que tardivement, un leger crissement familier sur la neige que perçoit son oreille entrainée. Il ne doit pas réagir. Il n'est qu'un homme normal ici. A moins qu'il ne soit déjà repéré?

- Qui est-tu et que viens-tu faire par ici ?

S'il y a une chose qu'on lui a appris, c'est de ne jamas rien avouer, même quand tout semble perdu. Il reste donc impassible. Il doit répondre, il doit avoir l'air naturel. Ce pays n'est pas son territoire. Il va devoir se defaire de cette mauvaise habitude. Il veut vivre. Alors il va devoir s'adapter.

- Un simple voyageur ; est il interdit d'entrer dans la ville? ; prononce-t-il d'une voix à peine audible avec son leger accent aegarus quartiers pauvres.

Il sent le souffle de la demoiselle contre son cou. C'est une chose que d'accepter une main sur son épaule, c'en est une autre que de devoir accepter un ennemi dans son dos. Mal à l'aise, il s'eccarte, se dégageant de deux contacts. La jeune fille porte des vêtements très court, plus plus court que ce que la décence n'accepte dans son pays. Il ne saurait cependant la prendre pour une prostituée. Il émane d'elle quelque chose de différents. C'est indubitablement une ninja. Un des fameux ninja... La curiosité l'envahit, et il lui jette un bref regard.C'est probablement une très belle femme, mais il n'en a cure, il ne s'est jamais vraiment intéressés à ce sujet et se voit lui même comme assexuel. Il voit en revanche qu'elle semble armée, et bien. C'est largement suffisant pour faire d'elle un danger potentiel. Il se tend légèrement.

*je posais mes mains sur mes hanches d'un air autoritaire. Je n'appréciai pas les demi reponses. Je m'approchai un peux trop proche de lui et positionnais mon visage proche et parlais avec toute l'innocence du monde*

- Tu es Aegarien ? Tu es perdu ? Pourquoi tu me mens ? Je ne suis pas stupide, je vois bien que tu es blessé ! Je vais te soigner. Viens avec moi.

*je pris d'autorité sa mains pour le guider jusqu'a ma chambre d'hotel.*

Comme si personne n'était venu l'agresser, le gamin (il n'arrive pas à le considérer autrement, un gamin pourri gâté probablement d'un famille à aisé. Lui à huit ans ne pouvait déjà plus se permettre d'être un enfant, et ce jeune homme continue de ses comporter comme tel. Il avait face à lui son exact opposé. Dans un sens, il se sent un peu jaloux), le gamin donc mis ses mains sur les hanches en une tentative d'autorité des plus bizarre. Il s'approche ensuite de lui, proche, trop proche. Son espace personnel est envahit. Il veut fuir. Tenir. Tenir. Tenir.

- Tu es Aegarien ? Tu es perdu ? Pourquoi tu me mens ? Je ne suis pas stupide, je vois bien que tu es blessé ! Je vais te soigner. Viens avec moi.

- Aegarus ; corriges-t-il automatiquement à mi-voix.

C'est étrange, il n'a pas l'habitude d'obéir à qui que ce soit d'autre qu'à des hommes dont émane une certaine testosterone ou une certaine maturité. Pourtant il se laisse docilement entrainer. Il ne veut pas faire de scandale, et puis il n'est pas mécontent de s'éloigner de cette personne à la lame un peu trop baladeuse.

A mesure que le chemin progresse, il hésite. Et si c'était un traquenard? Que doit-il faire? Qu'attend-on de lui dans ce genre de situation?

Arrivé dans la chambre, il commence à sentir le monde l'étouffer. Il a soudainement besoin de parler. N'importe quoi, dire quelque chose. Rompre et oublier sa tension. C'est fou comme la situation change ses habitudes, et ses réactions. Sans réfléchir il marmone ce qui lui tourne dans la tête. Il gromelle.

- C'est... c'est juste une égratignure. Et puis vous m'accusez de mentir, mais vous êtes mal placé pour parler.

*je courrais le long des longues routes enneigé. Je soufflais deja fort peu habitué à courir ainsi. Je me rechauffais ainsi. La chaleur de sa mains iradiai dans tout mon corps. Elle était à la fois irregulière et douce. Je ne voulais plus la lacher. Qu'est ce que je raconte moi ?! Je suis en train de tirer un gars a moitier crever dans ma chambre et de lui caresser la main... Je reconnaissait les rues, ce n'était pas tres loin. Il était prevu originellement que je dorme au chateau mais mon cher ninja étant en mission, ce chateau trop sombre et trop grand ne me faisait guere envie. J'avais ainsi plutot opté pour une petite chambre dazns une taverne. Grand bien m'en fis, je ne m'imaginai pas ramener le corps sanguilonent d'un homme avec moi ! Je rentrai dans la taverne. Personne ne me fis de reflexion. Entre les poivrot et ceux desirant se faire oublier, personne ne me dirait rien. Je montais les marches avec mon invité. J'ouvris la porte veillanr bien à ce qu'il ne s'enfuis pas. Je le poussais enfin sur le lit pour examiner ses blessures.*

- C'est... c'est juste une égratignure. Et puis vous m'accusez de mentir, mais vous êtes mal placé pour parler.

- Tu verras quand tes membres tomberont a cause de la lepre si ce n'est qu'une petite infection. Et puis je pense avoir été honnete avec toi. Demande ce que tu veux et je te repondrais !

*je lui lançais un regard doux et un sourire joyeux. Une legère rougeur envahissait mes joues. Je n'avais pas remarqué qu'il était si beau. Sa peau semblais clair et fine. Bien qu'il soit clairement un combattant, il n'était ni trop musclé ni trop usé par le combat et pas d'innombrable blessure. Il semblait jeune, peut etre un peu plus vieux que moi mais pas de beaucoup.*

- aller ! A POIL !

Ses membres tomber de la lèpre? Mais il n'a qu'une légère égratignure à la main? Il lève celle ci et regarde le jeune homme d'un air incrédule. Il risque vraiment de perdre ses membres? A cause d'une si petite plaie? Ce serait vraiment génant pour son métier. Et puis avec les inombrables ennuis qu'il a eu, rare ont été les complication. Est ce à cause de sa nature de neko? Il n'en sait que trop rien. Mais il a toujours eu une cicatrisation exemplaire. Heureusement pour lui, encore.

- C'est votre comportement qui n'est pas honnête. Vous jouez l'enfant, mais vous n'en êtes plus un.

Il regrette immédiatement ses paroles. Il ne sait pas vraiment s'il a été trop loin. Il est vrai qu'il ne connait pas cet homme, ni son origine, ni ses compétences, ni sa patience. Or il est ici un étranger sans possible retraite ou contact. Il réalise qu'il a cependant réussit à se surprendre lui même par la clarté de ses propos. A-t-il bien parlé? Il n'en est pas sûr. D'habitude, sa solution la plus simple consiste à ne rien dire du tout.

Il se sent soudain épié, observé, en pleine lumière. Comme un papillon clouté devant la bougie d'un savant de la famille Spring.

- Mais il n'y a que ma main, proteste-t-il, refusant de se sentir plus vulnérable encore devant ce gamin.

Comme pour certifier ses propos, il tend sa main et en defait le bandage. Il cille alors que les sang coagulé s'arrache, et par reflexe, porte sa main à sa bouche, dès la bandage ôté, commençant à lêcher sa plaie.

*Je lui jetais un regard abasourdis. Comment ? Comment pouvait-il briser cette douce illusion que je m'était construit. J'avais passer mes quelques 19 années d'existence à me donner des airs mignon, a chercher a paraitre faible et manipulable. Il était tellement plus aiser de controler un homme pensant avoir la main mise sur vous et l'executer en temps voulu. Certains, aux fantasmes bizarre avait touché à mon corps me prenant pour un enfant. Personne ne connaissait mon vrai age. C'était mon secret. pour eux je n'étais qu'un gosse manipulant un incommensurable pouvoir. Un gâchis en soit. Tous les manipulateur de la lumière restait petit. Surement pour le coté angelique et mignon. Mon père n'était guère grand. Il y a un grand tableau de mon père et de ma mère dans le salon. Tandis qu’elle paraît bien une trentaine d’année lui ne semble pas en faire plus que vingt. Il était pourtant plus âgé qu’elle.*

- Et quelle age aurais je ? Je ne suis qu’un petit garçon encore !

*je fis légèrement trembler ma lèvre. Le tremblement de lèvre ça marche toujours. Enfin bref, revenons a notre magnifique combattant. Il avait refusé de se dénuder. Je grognais et eu une idée de genie.*

- il faux verifier de partout ! imagine que la plaie soit caché ! tu pourrais mourir ! Un homme que je connais a perdu son…

*je pointais mon entrejambe*

- …comme ça ! Tu ne voudrais pas perdre ce qui fait de toi un garçon ? alors tu dois te deshabiller !

Le regard que lui jette le jeune homme le conforte dans son opinion première. Il a été trop loin. Les capacité sociales ne sont définitivement pas dans sa juridiction. Et si l'homme se mettait soudainement à crier au viol, à l'enlèvement, au goujat ou autre scandale? Ca lui était déjà arrivé quand des femmes et des hommes étaient venues lui parler, et il n'avait toujours pas compris la raison de leur réaction. Ce serait en tout cas ici à Sakura désastreux. Il décide d'éviter d'éventuelles futures bourdes, en cachant ses crocs d'hybride derrière un mutisme temporaire. Quel âge lui donne-t-il? Il observe le jeune homme attentivement. Il fait jeune. Le type typique devant lequel nombre de ses confrères ou des passants se seraient exclamé "il est mignon". Pourtant, malgré son corps frêle, le développement des muscles et des organes semble indiquer quelques temps de vie. Une vingtaine d'année? Impossible, il est trop chétif pour cela, peut être aux environ de son âge. "Il n'en reste pas moins un homme" songe-t-il. Afin d'éviter de vexer et ne sachant comment agir face à cet être encore plus bizarre que les autres, il se tait.

- il faux vérifier de partout ! imagine que la plaie soit caché ! tu pourrais mourir ! Un homme que je connais a perdu son…

Il observe d'un air sceptique. Non vraiment, il n'a pas eu de complication qui pourraient ressembler à ça malgré toutes ses blessures, et n'a jamais entendu parler d'une telle chose. Mais tout de même!
Il n'est pas sure que cette partie soit la plus essentielle à son métier, mais les infections, ça se propage, que ce soit là ou ailleurs, (sans compter que d'autres complications en d'autre endroit pourraient le mener à la retraite anticipée), et si quelque chose devaient arriver, ici, il n'aurait pas les soins nécessaire. Mieux vaut prévenir que guérir.

Risquerait-il de se dévoiler? Pas sûr, il est nombre de combattants qui arborent des cicatrices semblables aux siennes, et il n'en a sommes toute pas tant que ça, grâce à ses capacité de cicatrisation.

Sans quitter l'inconnu de son regard scrutateur et soupçonneux, il enlève lentement et silencieusement ses vêtements.

*je souris doucement en le voyant se deshabiller. Il n'avais pas repondu concernant mon age. Je souris. Il me savais plus vieux que mon apparence mais ne savait a quel point. Il me restait une carte dans ma manche. Mon cerveau bugga en voyant les premier bout de peau clair. Sa peau semblais douce et delicieuse. une envie soudaine me poussait a caresser et embrasser sa peau. Il était beau. TRES BEAU ! Je m'approchais les yeux brillant de luxure. Je caressai tendrement son torse. Les muscles etaient sculpté et ferme la ou mon torse etait plat et mince. Je n'étais pas musclé. je ne pouvais que l'envier. j'eu un petit sourire et remarquai qu'il gardais encore son sous vetement*

- il va falloir que tu enleves ça ! Sinon je ne vais pas pouvoir examiner la marchan...euh les degat ! Tu ne voudrais pas etre amputé. Imagine une vie sans aucun plaisir sexuel.

*J'ouvris grand mes yeux innocemment. c'était une de mes grandes techniques. Dire des obscenité avec des yeux debordant d'innocence. Plus je le regardai plus cet Aegarien, oui je m'obstinai a ecorcher le nom des habitant de ce fichu pays, plus il me plaisait. Il serait tres sexy en kimono tient ! Je dois bien en avoir un sur moi tient. Je descendis mon regard vers ses reins et me stoppais en remarquant une queue touffu. Pas la queue que j'aurais aimé voir mais une queue de loup. Je m'approchai et caressai le poil doux*

- Tu... Tu es un Neko. je... Je ne pensai pas que tu en soit un. ne t'inquiète pas ! ici les nekos ne sont pas en danger ! je te le promet ! Je... ces cicatrices... c'est ton maitre ?

Pourquoi cet homme sourit-il? Il n'aime pas ça. Ca le rend furieux sans qu'il puisse l'expliquer, comme si il y avait une signification cachée derrière son sourire. Depuis combien de temps n'a-t-il pas ressenti cette émotion? Depuis combien de temps n'a-t-il pas ressenti un émotion aussi forte?

Pourquoi avait il du le toucher? Il frissonne au contact. C'est une intrusion dans son espace personnel. Il n'aime généralement pas qu'on le touche. Et que veut vraiment la personne en face de lui? Ce contact n'avait pas l'air d'avoir pour but d'examiner d'éventuelles blessures.

Autre chose le chiffonne, l'âge. Ce jeune homme qui joue l'enfant n'en est décidément pas un. Il ne parlerait pas de ce genre de chose autrement. C'est probablement un petit nobliaux.

Enlever plus? Oui ça parait logique. Il a du mal à saisir ce qu'entend son vis à vis, mais il reste logique dans sa théorie. Quelque chose dans son hésitation, cependant, lui met la puce à l'oreille. Examiner la marchandise... Est ce un commerçant ou un trafiquant d'esclaves? Il jette un œil à la fenêtre pour estimer le temps qu'il lui faudrait pour s'échapper si les choses tournent mal.

Pourquoi cet homme vient-il seulement de remarquer son appartenance aux neko? Il ne cache pas sa queue depuis qu'il est à Sakura et ses oreille... ah oui, il avait rabattu la capuche des vêtements de voyage qui gisent désormais sur le sol.

"tu n'es pas en danger, je te le promets" c'est la phrase typique du chasseur qui veut endormir sa proie. Gare.

Il enlève tout de même le reste, sans chercher à rien cacher. Il a toujours eu du mal à comprendre les sentiments de pudeur.

- C'est mon travail; répond il de la façon la plus cryptique, neutre, et honnête dont il se sent capable à l'instant.

Puis l'énigme que représente ce petit être réveillant sa curiosité oubliée.

- Quel âge avez vous?

- C'est mon travail

*j'approchais mes mains de son dos et caressai doucement les petites marques blanches. Des cicatrices. Quel métier cet homme pouvait-il bien exercer pour etre ainsi blessé. Sa peau etaient totalement scarifer. Je souffrais pour lui. Je me plaçais dans son dos*

- tu risques de ressentir une drole de sensation.

*j'activai ma magie et doucement caressai sa peau. Les marques les plus recentes et les moins importantes disparurent. Les autres ne disparaitrait surement jamais. Je ne pouvais rien faire. Peut etre en les traitant dans la longueur. Ma main caressa ses cheveux. Je caressai ses oreilles bleuté. Elles était douce. Mon autre main s'aventura sur sa queue. Le poil était doux aussi. Je souris. Sourire gaché par sa question.*

- Mon age...C'est mon plus grand secret. Personne ne sait mon age. A ton avis, quel age ai je ?

*je repris mes caresses sur ses cheveux quand une douleur vrilla ma jambe. Je tombais a genoux en criant. Je souffrais comme jamais. Je baissai les yeux pour voir une large tache de sang imbibé mon pantalon. Deux kunai et un shuriken y etait figé*

- Des... des...nin...ninja... la fille... la fille de toute... a l'heure a...du les prevenir...

L'inconnu se met à caresser son dos. Il n'aime pas la tournure que prend la situation. Il faut qu'il trouve une raison, un prétexte pour se retirer, et quitter cette chambre, par trop semblables à nombres de ses planques.

- tu risques de ressentir une drôle de sensation.

Il se tend. Que fait son vis à vis? Tente-t-il de le percer à jour? Est ce une magie de vérité? Il sait que certains rituels aegarus permettent de telles choses. Les sakurajin le peuvent-ils aussi? Mais s'il se débat, il risque de se révéler.Une main approche ses cheveux pour caresser ses cheveux, ses oreilles, sa queue. Une douce sensation de bien être s'empare de lui. Est ce l'effet de cette magie?

-  Mon age...C'est mon plus grand secret. Personne ne sait mon age. A ton avis, quel age ai je ?

Jouer au jeu des devinette? Il n'aime pas trop jouer. Veut-il sa réponse à ce point? Cet inconnu d'un pays ennemi est il si important? Il est possible qu'il reçoivent dans quelques jours l'ordre de le tuer... ou autre. Alors que la main sur ses cheveux se fait toujours aussi apaisante, un sifflement familier le sort de sa transe, et il s'écarte brutalement, une expression de douleur retentissant à côté de lui. Il prend à peine le temps de remarquer les projectiles sur la cuisse de son hôte et va fermer la fenêtre et le volet, esquivant au passage un autre projectile et en recevant un dans l'épaule avec un grognement. Il survole la pièce du regard pour chercher d'autre ouverture. Aucune. Parfait. S'il veulent attaquer, il vont devoir rentrer dans la pièce en personne.

- Pourquoi la fille de tout à l'heure les préviendrait-elle; grogne-t-il. Je ne suis qu'un étranger de passage et vous ne me semblez pas être un grand criminel. L'êtes vous?

Il ne s'était jamais connu aussi locace, de même qu'il ne s'était jamais concentré autant pour lutter contre ses instincts. Le jeu en vaut la chandelle cependant.

Et ne quittant la porte des yeux que pour surveiller la fenêtre, il enfile de nouveau ses vêtements de voyageurs. Il ne baissera pas sa comédie aussi facilement.

*je levais les yeux vers lui. Que devais je faire ? Avouer la vérité ? Au vu des marques constellant son corps ce ne pouvait pas être un simple marchand. C'était au moins un combattant. Un combattant doué de surcroit. Malgré les blessures il avait survécu. Un soldat ? Non... Il paressait trop... libre pour être un soldat. Surement un mercenaire... ou bien un... assassin... non, ces questions ne m'avanceront pas. Pour l'instant je l'ai soigné il me doit donc un service. J'arrachait les bouts d'acier dans ma jambe. Je posai la main sur le manche caché derrière mon kimono. Je devais m'en servir en dernier recours. Mon sabre est beaucoup trop... voyant !*

- je... Sakura est divisé en deux. Les samourais et les ninjas. Nous sommes en terre ninja et je suis un samourai.

*je tentai de me redresser mais ma jambe me fit de suite plier l'échine. Ces fourbes avait bien visé. Je passais rapidement un bout de tissus autour de ma jambe pour endigué l'émoragie. Je regardai autour de moi et vit une fenêtre par laquelle nous pourrions nous enfuir. Je pris la main du bel homme et le tirait vers notre issue de secours*

- Nous... Nous devons nous enfuir. Si ils nous trouvent ils nous tueront. Ils ont deja du voir ton visage et la fille rose doit être avec eux. Le simple fait de parler avec un samourai est interdit aux civils et aux voyageur.